Les chroniques économiques de Bernard Girard

25.3.08

1929 ou pas?

Sommes nous dans une situation comparable à celle de 1929? Tous les observateurs le disent, soulignant toutefois la différence avec la grande crise : les banquiers centraux sont informés des conséquences que pourraient avoir une crise de cette ampleur. Ils sont d'ailleurs très actifs.

Une chronique qui décrit les mesures qu'ils prennent, qui analyse la situation, suivie d'une note sur un article de Jeffrey Frankel qui avance une explication originale de la hausses des prix des matières premières.



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18.3.08

Multinationales contre Etats

On dit beaucoup que les multinationales dictent dorénavant leur loi aux Etats. J'essaie dans cette chronique de montrer comment elles peuvent agir sur les politiques des pays dans lesquels elles s'installent en utilisant les facilités du CIRDI (ICSID), une institution créée en 1966 pour arbitrer les conflits entre investisseurs étrangers et Etats qui veulent les exproprier.




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11.3.08

Réchauffement climatique : la position américaine va changer, mais…

Avec l'arrivée d'une nouvelle administration à Washington, la position américaine sur le réchauffement climatique va évoluer. Jusqu'où? C'est ce qu'analyse cette chronique qui souligne le principal obstacle à une intervention massive des Etats-Unis : un rapport coût-bénéfice peu favorable à la lutte contre les émissions de gaz de serre.

Suivi de quelques mots sur le chômage en France et sur un recul des chiffres du chômage qui pourrait cacher une dégradation de la situation de l'emploi.



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4.3.08

Pouvoir d'achat : une victoire à la Pyrrhus?

Le gouvernement prépare de nouvelles mesures pour relancer le pouvoir d'achat basées sur le déblocage de l'intéressement et de la participation. Ces mesures ne concernent qu'une partie de la population salariée (ceux qui travaillent dans les entreprises de plus de 50 personnes), mais elles pourraient améliorer l'ordinaire de nombreux salariés. Reste à savoir s'ils apprécieront des mesures qui réduiront leurs revenus immédiats (puisque les sommes versées au titre de la participation et de l'intéressement seraient soumises à cotisations sociales) et leur donneront le sentiment de "manger leur capital", d'utiliser pour financer leurs dépenses quotidiennes des sommes qu'ils affectaient affectées à l'épargne?



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